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Références: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
le 23 Sept 2001 - 03:40
Charles et le cinéma Au début des années '30, Charles Trenet avait fréquenté l'univers du cinéma en qualité d'accessoiriste aux Studios Pathé de Joinville. En 1932, son beau-père, le cinéaste Béno Vigny lui confie l'écriture des chansons – 4, pour être précis - pour son film Bariole mais, comme il n'est pas encore admis à la Société des Auteurs, c'est Jane Bos qui signe officiellement les paroles au générique.

Ensuite, Charles Trenet transpose à l'écran la poésie de ses compositions les plus célèbres, le côté loufoque et guilleret de ses chansons. Il apparaît pour la première fois en 1938 dans La Route enchantée, réalisé par Pierre Caron. Il rédige lui-même le scénario, les dialogues truculents où se bousculent les jeux de mots et les chansons du film, dans un registre poétique. Ce film, adapté de son propre roman écrit en 1933, narre les aventures d'un chansonnier errant dans les champs à la recherche du château de ses rêves. La même année, Trenet joue dans Je chante (Christian Stengel) qui remporte un franc succès.
Les films suivants exploitent l'image et l'oeuvre du chanteur. En 1941, il campe un débutant de music-hall dans La Romance de Paris (Jean Boyer) et en 1942, un poète bonasse qui écrit des chansons dans Frederica (1942, Jean Boyer). Il trouve encore un grand rôle dans Adieu Léonard (1943, Pierre Prévert), puis ne fait plus que de courtes apparitions dansLa Cavalcade des heures (1943, Yvan Noé),  Bouquet de joie (1951, Maurice Cam), Boum sur Paris (1953, Maurice de Canonge) et Printemps à paris (1956, Jean-Claude Roy). Enfin, Trenet joue son propre rôle dans C'est arrivé à 36 chandelles (1957, Henri Diamant-Berger) puis met un terme à sa carrière cinématographique.

Episodiquement, Charles Trenet participera également à des compositions musicales pour des films, tels que 9 Garçons et un coeur (1947, Georges Freeman) avec Edith Piaf et les Compagnons de la Chanson. A la télévision, il composera également la musique originale et collaborera aux textes des chansons pour des séries populaires telles que Les Vacances de Poly (un feuilleton télévisé français en 13 épisodes de 13 minutes, en noir et blanc, créé et réalisé par Cécile Aubry et diffusé à partir du 5 décembre 1963 sur la première chaîne de l'ORTF) ou encore Sans Famille (1981, Jacques Ertaud).

Pour retrouver les titres des chansons interprétées dans chacun des films, vous pouvez relire l'article ici





FILMOGRAPHIE

 




LA ROUTE ENCHANTEE - 1938

FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Pierre Caron
Auteur et scénariste : Charles Trenet
Musique : Charles Trenet
Production : Serge Sandberg
Société de production : Les Fims SACA (France)
35mm – Noir et blanc – 80 minutes
Date de sortie : novembre 1938


DISTRIBUTION
Charles Trenet
Raymond Aimos
Argentin
Jacques Beauvais
Léon Berton
Bluebell Girls
Julien Carette
Anny Claude
Paul Demange
Jean Dorane
Nicole Dumas
Luce Fabiole
Catherine Fonteney
Jeanne Fusier-Gir
Serge Grave
Albert Malbert
Cécyl Marcyl
Maximilienne
Robert Moor
Marguerite Moreno
Pierre Moreno
René Navarre
Jacqueline Pacaud
Jeanne Pérez
Jean Réal
Marcel Vallée


Résumé de l'intrigue :
En province, jacques minervois, fils d'un professeur de mathématiques, vient de terminer ses études. C'est un poète, un fantasque, vivant dans ses rêves. Son frère Jean est encore au collège. Leur grand rêve d'enfants est le château créé par leur imagination :
"Le Château de Méricourt". Pourtant, Jacques s'ennuie, songeant souvent à s'évader de la réalité, à voyager. Il part à l'aventure, et entre comme bonimenteur dans un théâtre ambulant jusqu'au jour où les mauvaises affaires aidant, le théâtre, bien assuré, prend feu. Sans travail, Jacques repart au hasard de la route. Loin... bien loin, il s'endort au pied d'un chêne. Une charmante jeune fille, Geneviève, accompagnée de sa gouvernante joue dans la campagne, chassant le papillon. Elle aperçoit Jacques endormi, un joli papillon sur le nez. Elle hésite, envoie un coup de filet qui attrape Jacques et manque le papillon. Les deux jeunes gens échangent mille choses aimables, quand surgit la gouvernante essoufflée. Geneviève est grondée de parler au premier venu.
"Je ne suis pas un vagabond, je suis un troubadour et Mademoiselle est certainement une petite princesse, si elle n'est pas une fée."
- Un troubadour, s'écrie la gouvernante, venez vite au château, nous avons besoin de vous pour une grande fête.
- Quel château ? 
- Le Château de Méricourt !!!!
La Comtesse de Méricourt passait pour un peu folle. Veuve du Roi des jambons, elle n'était pas plus Comtesse que son château n'était historique : bâti de fausses ruines, renfermant de faux tableaux de famille, de faux cachots, de faux fantômes...
L'arrivée de ce troubadour bien élevé et fantasque enchante la Comtesse. Jacques devient bientôt un ami de Cosaque, ancien acteur, engagé pour faire le fantôme. Il apprend que Geneviève est bien malheureuse : elle doit épouser le Duc de Bocanegra, laid et ridicule, qui habite le château de son vieux père. En qualité de fantôme, Cosaque remet les billets doux qui sont souvent des chansons composées pour elle.
Pour éviter le mariage, Jacques et Cosaque décident, déguisés en fantômes, d'enlever Geneviève pendant la grande fête. Ils sont découverts et chassés, après une poursuite épique dans les couloirs.
Ils arrivent à Paris et cherchant du travail, il tombent sur un directeur de Music-Hall, abandonné la veille par sa principale interprète.
On monte une opérette, revue à grand spectacle, de Jacques dont il sera aussi la vedette :
"La route enchantée". C'est l'histoire de ses rêves de troubadour, dans laquelle on retrouve toutes les chansons qu'il a composées pour Geneviève.
A Méricourt, les gendarmes ont arrêté les Ducs qui étaient des aventuriers recherchés par la police. Rendue à la réalité, la Comtesse s'ennuie et quand elle apprend que l'on va jouer à Paris un spectacle de son ancien troubadour, elle décide de s'y rendre.
"La route enchantée" est un grand succès. Le soir de la première, Geneviève, en entendant les chansons que lui envoyait Jacques, tombe dans ses bras, à la grande joie de la Comtesse.
"La route enchantée" nous a menés au but de notre voyage : l'Amour.











 


JE CHANTE - 1938

FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Christian Stengel
Scénario : Christian Stengel, René Wheeler
Dialogues : Albert Bausil
Chef opérateur : Christian Matras
Musique : Charles Trenet
Production : René Wheeler
35mm – Noir et blanc - 88 minutes
Date de sortie : 30 novembre 1938

DISTRIBUTION
Charles Trenet : Charles
Félix Oudart : Roy de la Barre
Jean Tissier : l'éditeur
Jacques Berger
Margo Lion : Mathilde
Claire Monis : Clarita
Alfred Adam : Adam
Yves Deniaud
Georges Bever : l'employé du gaz
Julien Carette : Julien Lorette
Hugues de Bagratide : le Danois
Robert Moor : Béranger
Jacques Tarride : le patron du café
Albert Michel : le laitier
Micheline Presle
Jean-François Martial : le baron
Made Siamé : la surveillante
Robert Seller : l'inspecteur
Sylvain Itkine : un courtier
Émile Riandreys : un domestique
Philippe Olive : un domestique
Raymond Rognoni : le concierge



Résumé de l'intrigue :
La passion du jeu a conduit le directeur d'un collège de jeunes filles à la ruine.
Domestiques, professeurs et fournisseurs réclament leur dû quand Charles, le neveu du directeur, arrive. La débordante joie de vivre de ce garçon et ses chansons suffisent à apaiser les plus mécontents. Mais cela ne dure qu'un temps, car les difficultés affluent de plus belle et Charles devra mettre en oeuvre toute sa malice pour tirer le collège de ce mauvais pas.











 


LA ROMANCE DE PARIS - 1941

FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jean Boyer
Scénario : Jean Boyer
Musique : Charles Trenet et Georges Van Parys
Image : Christian Matras
Son : Pierre Calvet
Décors : Henri Mahé
Costumes : Augusta Boiron
Montage : Louisette Hautecoeur
Directeur de production : André Jeannin Gaillard Zwobada
Société de production : Société d'exploitation des Etablissements Pathé Cinéma (SEEPC)
Tournage : Studios Pathé-Francoeur, 6 rue Francœur, Paris
35mm – Noir et Blanc – 110 minutes
Date de sortie : 3 octobre 1941

DISTRIBUTION
Charles Trenet : Georges Gauthier
Jean Tissier : Jules Laforgue
Yvette Lebon : Jeannette Lormel
Sylvie : Mme Gauthier
Jacqueline Porel : Madeleine Gauthier
André Alerme : Cartier, le directeur des Folies Concert
Robert Le Vigan : Monsieur Lormel, un chanteur
Alfred Pasquali : Nicolas, un impresario
Germaine Lix : Madame Lormel
Maurice Teynac : Maurice
Albert Broquin : le régisseur
Raymond Bussières : un joueur
Léonce Corne : un garçon
Léon Larive : le patron du Balajo
Robert Ozanne : un joueur
Georges Bever : l'accordéoniste
Léonce Corne : Le garçon
Ginette Baudin
Jean Berton
Lucienne Legrand
Georgette Tissier
Maurice Salabert
Régine Dancourt
Lucien Donval
Claude Marcy
Lucienne Vigier





Résumé de l'intrigue :
De pauvres accordéonistes font de la musique sur les quais de Paris. Personne ne s'arrête. Un jeune homme, Georges Gautier, s'approche et leur dit qu'il faudrait chanter pour intéresser le public. Il chante avec les musiciens. Les gens s'attroupent. Georges vit pauvrement avec sa mère et sa sœur Madeleine. Jules, ami de Georges, est amoureux de MadeleineGeorges va, tous les soirs, aux Folies Concert. A une représentation, il fait la connaissance de Melle Lormel, fille d'un chanteur détestable, vedette des Folies Concert. Dans les coulisses, Georges rencontre le Directeur des Folies Concert. Le directeur s'intéresse beaucoup aux jeunes chanteurs. Il propose à Georges de passer, le lendemain, une audition. Le soir même, en rentrant chez lui, Georges apprend que sa sœur a quitté le logis familial. Elle est partie avec un inconnu. Georges est abattu. Il décide de renoncer à sa carrière de chanteur. Georges travaille maintenant, comme peintre en bâtiment, avec son ami Jules.

Un jour, sur le toit d'une maison, il se met à chanter. Dans cette maison, habite le directeur des Folies Concert. Le directeur, par hasard, entend chanter Georges. Il lui donne rendez-vous dans son music-hall, le lendemain, à quinze heures, pour passer une audition. Le lendemain, Georges auditionne. C'est un succès. Le directeur signe au jeune homme un contrat. Il lui donne, en outre, un nom d'artiste : Jean Papillon. Georges revoit Melle Lormel mais il ne lui dit pas qu'il va chanter aux Folies Concert. Il ne dit pas, non plus, à sa mère qu'il va débuter dans la carrière artistique. Il prétend avoir trouvé une place dans une usine. Georges débute aux Folies Concert. Très grand succès auprès du public. Une grande carrière commence pour Georges. Les propositions affluent. Les prix montent. Georges Gautier, sous le nom de Papillon, devient une très grande vedette de la chanson. Georges fait croire à sa mère qu'il travaille toujours dans une usine. Il cache, également, à Melle Lormel que Papillon, c'est lui. Madeleine, très déçue de l'homme avec qui elle était partie, revient au logis familial. Un jour, Georges épouse Melle Lormel qui n'est au courant de rien. Elle ignore que son mari c'est Papillon. Un soir, dans un grand gala, la mère de Georges et Melle Lormel, devenue Madame Gautier, apprendront la vérité. Elles seront folles de joie et Jules épousera Madeleine.













 


FREDERICA - 1942


FICHE TECHNIQUE
Réalisateur : Jean Boyer
Scénario et dialogues : Jean de Letraz
Musique et chansons : Charles Trenet
et Georges Van Parys
Images : Lucien Joulin
Montage : Andrée Danis
Décors : Pierre Marquet
Son : Jean Rieul
Production : Jason Films
35mm – Noir et blanc – 92 minutes
Date de sortie : 18 novembre 1942

DISTRIBUTION
Elvire Popesco
Charles Trenet
Rellys
Suzet Maïs
Jacqueline Gauthier
Hélène Dartigue
Hélène Tossy
Marguerite de Morlaye
Jacques Louvigny
Robert Arnoux
Christian Gérard
Maurice Baquet
Georges Simmer
Francis Blanche
André Varennes


Résumé de l'intrigue :
Gilbert avait écrit, en rêveur qu'il est, des lettres d'amour à une inconnue idéale qu'il avait surnommée Frédérica. Le malheur veut que ces lettres finissent par tomber sous les yeux d'une authentique Frédérica qui les prend pour elle. Or, elle n'est pas libre et l'imprudent poète est fiancé. L'arrivée impromptue de la vraie Frédérica crée une situation embrouillée. Tout s'arrange dans les rires, la musique et des chansons.










 


ADIEU LEONARD - 1943

FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Pierre Prévert, assistant : Lou Bonin
Scénario : Jacques Prévert et Pierre Prévert
Dialogues : Jacques Prévert
Production : André Halley des Fontaines
Musique : Joseph Kosma
Photographie : André Thomas
Montage : Charles Bretoneiche
Décors : Max Douy
Production : L'Essor Cinématographique Français
35mm – Noir et blanc – 104 minutes
Date de sortie :  septembre 1943

DISTRIBUTION
Charles Trenet : Ludovic
Pierre Brasseur : Bonenfant
Julien Carette : Félicien Léonard
Denise Grey : Bernardine
Jean Meyer : Tancrède
Jacqueline Pagnol : Paulette
Gaby Wagner : Marguerite
Marcel Pérès : Le patron
Albert Rémy : Le marchand d'oiseaux
Roger Blin : Le chef bohémien
René Bourbon : Le notaire
Jenny Burnay : Mme Bonenfant

Guy Decomble : Le rémouleur
Étienne Decroux : Prasmoquier
Louise Fouquet : La bouquetière
Yette Lucas : La patronne
Madeleine Suffel : La poule
Edmond Van Daële : Le graveur
Yves Deniaud : Le garçon de café
Maurice Baquet : Le marchand de lampions
Édouard Delmont : Le chemineau
Barrault : Le guitariste


Résumé de l'intrigue :
L'action est contemporaine du tournage (1943).
Félicien Léonard (Julien Carette) est un commerçant en lampions et autres farces et attrapes.
Les extravagances de sa femme (Bernardine: Denise Grey) et de l'amant de celle-ci (Tancrède: Jean Meyer) l'ont amené à la ruine. Tancrède incite Léonard à faire un coup, mais, peu doué, celui-ci est surpris par le marchand de biens (Prosper Bonenfant: Pierre Brasseur) chez qui il est en train de fracturer un coffre-fort... vide.
Bonenfant en profite immédiatement pour faire chanter Léonard afin qu'il le débarrasse d'un cousin (Ludovic: Charles Trenet) qui l'a privé d'un héritage qu'il pensait lui revenir.
Léonard et Bonenfant se rendent alors tous les deux chez Ludovic.
Dès lors, l'action se passe dans le petit château du Sud-Ouest de la France où Ludovic accueille de multiples petits métiers.
Et à la fin, personne n'aura tué personne.









 


LA CAVALCADE DES HEURES - 1943



FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Yvan Noé
Scénario : d'après une idée de Louis A. Pascal
Adaptation et dialogues : Yvan Noé
Images : Raymond Agnel
Montage : Emma Le Chanois
Décors : Maurice Bernard
Musique : André Messier, Roger Dumas, Charles Trenet
Chansons : Que reste-t-il de nos amours ? Charles Trenet et Léo Chauliac
Débit de l'eau, débit de lait, Charles Trenet et Francis Blanche
Son : Marcel Wendling
Production : France-Production
Directeur de production : Jean Faurez
Tournage :  février au 15 juin 1943
35 mm - noir et blanc – 99 minutes
Sortie : 10 novembre 1943 à Paris


DISTRIBUTION
Fernandel : Antonin
Charles Trenet : Charles
Meg Lemonnier : Ginette
Gaby Morlay : Geneviève, la mère de Pierrot
Fernand Charpin : Mr Maurice
Félicien Tramel : Léon Jourdaux, le petit bourgeois
Jeanne Fusier-Gir : Mme Léon
Jean Chevrier : Le condamné à mort
Jules Ladoumègue : Massardier, le jeune sportif
Lucien Galas : André
Félix Oudart : Le maître d'hôtel
Jean Daurand : L'ouvrier
René Noël : Roger
Pierre Juvenet : Le serveur
Grandjon : Le petit Pierrot
Le petit Ladoumègue : Un jeune admirateur
Simone Antonetti : La marchande de cigarettes
Pierrette Caillol : Hora, la déesse des heures
Julien Bertheau : Le récitant
Michel Roux





Résumé de l'intrigue :
"Hora", déesse des heures, apparaît tout à tour dans une suite de sketches : à un explorateur perdu dans le désert, à Tramel, un petit bourgeois, qui cherche à s'évader de sa médiocrité, ensuite à une maman frivole qui délaisse son petit garçon, encore à un impénitent noceur, puis à un brave homme qui n'a plus un sou pour payer son restaurant, à un jeune sportif, à une vedette lasse de l'égoïsme de son public, à un condamné à mort enfin pour lequel elle arrive à fléchir le jugement dernier.








 


BOUM SUR PARIS - 1954



FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Maurice de Canonge
Assistants : Gabriel Aloisi, Jacques Vilfrid, Alain Fraysse
Scénario : Maurice de Canonge, Jacques Chabannes, Roger Féral
Dialogues : Jacques Chabannes, Roger Féral
Musique : Louiguy (Éditions Hortensia) (voir aussi Chansons ci-dessous)
Photographie : Jean Bachelet, assisté de Jean Rabier
Cadrage : Pierre Lebon, assisté de Pierre Clément
Son : Raymond Gauguier
Photographie de plateau : André-Jacques Manson
Décors : Claude Bouxin
Maquillages : Louis Dor, Claude Uselmann
Scripte : Paulette Tacquet
Régie : Marcel Bryan
Régie d'extérieur : Jouan
Accessoiriste : Padovani
Habilleuse : Lucie Dauphin
Montage : Isabelle Elman
Tournage : du 12 juin au 24 juillet 1953 aux studios Éclair d'Épinay-sur-Seine
Production : Edmond Ténoudji
Société de production : Les Films Marceau (France)
Direction de production : Roger Le Bon
Sociétés de distribution : Les Films Marceau (distributeur initial), Cocinor, Les Acacias, Tamasa Distribution
35mm - Noir et blanc — 35 mm — 95 minutes
Sortie : 19 février 1954 à Paris

DISTRIBUTION
Jacques Pills : Jean Sestrières, le neveu du professeur
Luce Feyrer : Lola Bonheur, une vedette
Armand Bernard : Monsieur Calchas, agence de filatures
Danielle Godet : Monique Calchas, sa fille
Robert Pizani : lui-même
Eddie Warner et sa musique tropicale
Michel Salina
Paul Demange : Stanislas, le préparateur du professeur
André Chabrol (Al Cabrol) : lui-même en catcheur
Robert Seller : le professeur Sestrières
Michel Dancourt : le livreur de fleurs
Max Dalban
Josselin : Menotti, le chef de gang

Aimé Barelli : lui-même, chantant et dirigeant son orchestre
Charles Boyer : lui-même, en vedette invitée
Martine Carol : elle-même, en vedette invitée
Gary Cooper : lui-même, en vedette invitée
Annie Cordy : elle-même
Nicole Courcel : elle-même, signant des autographes
Lucienne Delyle : elle-même, en chanteuse avec Aimé Barelli
Jacqueline François : elle-même
French Cancan du Moulin-Rouge
André Gabriello : lui-même
Juliette Gréco : elle-même
Christian-Jaque : lui-même, accompagnant Martine Carol
Philippe Lemaire : lui-même
Gina Lollobrigida : elle-même, en vedette invitée
Manécanterie des Petits Chanteurs à la croix de bois, avec l'abbé Fernand Maillet
Jean Marais : lui-même, en vedette invitée
Philippe Mareuil : lui-même
Mick Micheyl : elle-même
Marcel Mouloudji : lui-même
Jean Nohain : lui-même, en présentateur de l'émission
Gisèle Pascal : elle-même
Gregory Peck : lui-même
Édith Piaf : elle-même
Rellys : lui-même, rencontrant Mick Micheyl
Line Renaud : elle-même
Charles Trenet : lui-même



Résumé de l'intrigue :
Au début des années 1950, la populaire émission radiodiffusée « La Kermesse aux Étoiles », animée par le célèbre Jean Nohain, mêlant jeux de loterie et prestations de divers artistes, va être perturbée par les péripéties d’un homme et de sa fiancée cherchant à récupérer un dangereux flacon de parfum (explosif) qui a été malencontreusement mêlé aux lots à gagner…




 


PRINTEMPS A PARIS - 1956



FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jean-Claude Roy
Scénario et Adaptation : Jean-Claude Roy
Dialogue : Jean Girault
Assistant réalisateur : Michel Mitrani, Dany Fog
Superviseur : Maurice Cam
Images : Pierre Dolley
Musique : Francis Lopez
Chansons : Charles Trenet
Décors : Henry Schmitt
Montage : Jacques Mavel
Son : Jean Bonnafoux
Maquillage : Reine Thomas
Régisseur : Marc Hélin
Production : Giméno-Philips-Films
Chef de production : Alphonse Gimeno, Gloria Philips
Directeur de production : Linette Philips
Distribution : Astoria
Tournage du 4 au 31 juillet 1956
35mm – couleurs - 85 minutes
Sortie : 08/03/1957 à Paris

DISTRIBUTION
Christine Carrère : Gisèle, la petite provinciale
Philippe Nicaud : Pierre, le Parisien
Sacha Briquet : Le pickpocket
Jean Tissier 
Jim Gérald 
Paul Demange 
Mona Goya 
Henri Salvador 
Zappy Max
Charles Trenet 
Jean Droze 
Dominique Boschero 
Geneviève Gallien 
Laure Guénaud 
Pierre Repp 
Micheline Dax 
André Gabriello 
Sophie Mallet : La bonne
Luis Mariano 



Résumé de l'intrigue :
Gentille petite provinciale venue visiter Paris, Gisèle rencontre l'aimable Pierre qui se propose de lui faire visiter la capitale. Jouant à cache-cache dans le Paris by-night, ils se retrouvent pour ne plus se quitter.





 


BOUQUET DE JOIE - 1952



FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Maurice Cam
Scénario et dialogues : Fernand Milhaud
Directeur de production : Emile Buhot
Directeur de la photographie : Raymond Clunie
Ingénieur du son : Norbert Gernolle
Musique: Charles Trenet
Décorateur : Eugène Piérac
Assistant-réalisateur : Tony Saytor
Monteur Germaine Artus
Scripte : Alma Bélard
Régie : Charles Kerdax
Photographe de plateau : Robert Tomatis
Société de production : Sonofilm
Producteur : Pierre Guichard
Année : Tourné en 1951, sorti à Paris, le 22 février 1952

DISTRIBUTION
Roland Armontel : Le gendarme
Hélène Bellanger : Simone
Lucien Callamand
Francis Gag
Jenny Hélia
Edouard Hemme
Hennery
Jean Lefebvre : Georges
Milly Mathis
Henri Poupon : Lui-même
Vera Talchi
Tilda Thamar : Anita
Tomas et ses Merry Boys : The band
Charles Trenet : Lui-meme


Résumé de l'intrigue :
Georges et Simone partent en vacances. Le pessimisme et les maniaqueries du mari les gâteraient si les incidents qui se multiplient ne rendaient pas à la longue le sourire au jeune couple.
Arrivés dans le Midi, ils applaudissent Charles Trenet prêt à partir pour l'Amérique en compagnie de la belle Anita qui lui amène son fidèle et vieil ami, le bon acteur Henri Poupon.
Georges et Simone et bien d'autres saluent l'embarquement du chanteur.








 


C'EST ARRIVE A 36 CHANDELLES - 1957



FICHE TECHNIQUE
Réalisation, scénario et dialogues de Henri DIAMANT-BERGER
Co-scénaristes Jean NOHAIN, Dominique NOHAIN et André LECLERC
Co-dialoguiste Jean NOHAIN
Directeur de la photographie Robert JUILLARD
Musique de Francis LÓPEZ
Producteur : Fernand Rivers
Production : Les Films d'Art
35mm – couleurs – 105 minutes
Sortie : 16 octobre 1957 à Paris

DISTRIBUTION
Jean NOHAIN
Paul DEMANGE
ANDREX
Cécile AUBRY
Charles AZNAVOUR
André GABRIELLO
Pierre LARQUEY
Odette LAURE
Roger PIERRE
Annette POIVRE
Fernand RAYNAUD
Jean RICHARD
Jean-Marc THIBAULT
Georges GUÉTARY
Jean TISSIER
Charles TRENET
Jane SOURZA
Philippe CLAY
Christian DUVALEIX
Juliette GRÉCO
Lucien RAIMBOURG
Félix PAQUET
ROGERS
Catherine LANGEAIS
Dany DAUBERSON
Georges ULMER
Dominique NOHAIN
François DEGUELT
Guylaine GUY
André LECLERC
Robert ROCCA



Résumé de l'intrigue :
Ce film plein de chansons et d'humour nous fait revivre de la scène et des coulisses l'émission phare de la télévision française des Années 50, "36 Chandelles" de Jean Nohain. Un grand nombre de vedettes en pleine gloire dont Charles Trenet, Charles Aznavour, Georges Guétary, Juliette Gréco, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, Philippe Clay, François Deguelt, les Blue Bell Girls du Lido et un Fernand Raynaud époustouflant sont les invités de cette prestigieuse émission.










 
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TOUTE SA FILMOGRAPHIE !


TOUTE SA FILMOGRAPHIE ! | Connexion/Créer un compte | 7 Commentaires
  
Les commentaires sont posté par leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
par Anonyme le 31 Oct 2001 - 07:39
Un film a été tourné en 1930 avec Charles Trenet parmi les acteurs. Il s'intitule "Le Rêve". Je ne puis malheureusement pas vous en dire davantage.

Charles dans "Le Rêve"
par Dominic (Envoyez un message) le 03 Nov 2001 - 10:49
Merci, cher visiteur, pour votre contribution. Malheureusement, d'après les éléments en ma possession, Trenet ne figure pas officiellement au générique du film "Le Rêve", adaptation très réaliste du roman de Zola, réalisée par Jacques de Baroncelli en 1931 aux studios de Joinville. Mais Charles a bien participé à ce film en tant qu'assistant. C'est même sa première prestation à ce poste auquel il venait d'accéder après avoir été utilisé durant un an en qualité d'accessoiriste. Les vedettes de ce film, qui connut un grand succès commercial, étaient Le Bargy et Jacques Catelain, tous deux très connus à l'époque. Maintenant, rien n'interdit de penser que Charles ait fait une apparition, une silhouette ou une figuration dans ce film que je n'ai malheureusement jamais vu.
Le webmaster.

Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
par Eber (Envoyez un message) le 21 Oct 2008 - 08:29
Bonjour a tous!

Encore un film de 1954 avec la participation de Charles:

"An jedem Finger zehn" un film allmand de Erik Ode.
Voyez le lien
http://filmsdefrance.com/FDF_An_jedem_Finger_zehn_1954_rev.html

Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
par Duncker (Envoyez un message) le 08 Jan 2017 - 02:58
BOUM SUR PARIS où Charles interprète La jolie sardane et Printemps à Rio est paru en DVD

Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
par Duncker (Envoyez un message) le 15 Jan 2017 - 03:20
Le nom exact du cinéaste, beau-père de Charles, est BENNO VIGNY. Pour le film BARIOLE (sorti en octobre 1932) Charles a écrit les paroles des six chansons (en non pas quatre) - : Hélène; O mon maître; Viens! ; Chantez mon coeur ; Pourquoi? ; Sais-tu ? éditées chez SALABERT. Il y a même une 7ème chanson, intitulée DANS LA FUMEE mais qui n'a pas été retenue. Elle fut enregistrée par Lucienne BOYER.

  • Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE ! par Dominic le 06 Fév 2017 - 06:42
    Re: TOUTE SA FILMOGRAPHIE !
    par Duncker (Envoyez un message) le 12 Fév 2017 - 02:43
    Ce n'est pas pour les PAROLES que Jane Bos a signé les chansons du film BARIOLE. C'est pour la MUSIQUE justement.
    Je possède les partitions de ces chansons éditées chez SALABERT en 1932, avec tous les détails - par exemple pour Ô mon maître : "Fox-Trot Boston chanté par Germaine ROGER dans le film "Bariole"/Production La Compagnie du Cinéma.
    Paroles de CHARLES TRENET - Musique de JANE BOS.

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