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LES GRANDS MOMENTS -4 : 1958, CHARLES TRENET À L’ALHAMBRA-MAURICE-CHEVALIER - MAIN DANS LA MAIN, LE POÈTE ET MA POMME.
le 03 Avr 2013 - 03:40
Charles et la chanson par Elisabeth Duncker

Le 16 janvier 1958, Charles Trenet fêtait ses vingt ans de carrière à l’Alhambra, rebaptisé Alhambra-Maurice-Chevalier, en hommage au créateur de “Ma pomme”.

L’ALHAMBRA EST FIER !

Dans un communiqué de presse on lisait :

Oui, l’Alhambra est fier, fier que Charles Trenet ait choisi l’Alhambra – Maurice-Chevalier pour célébrer ses vingt ans de music-hall !
On peut préférer le chanteur au compositeur ou le compositeur au chanteur ; une chose en tout cas est vraie : depuis vingt ans, on aime Charles Trenet. On l’aime parce qu’il est la poésie même, parce qu’il est le talent même, parce qu’il est la gaieté même, parce que chacune de ses chansons vous laisse plein de rêve, parce que vous retrouvez un peu de lui dans tout ce qui a été écrit ou chanté depuis vingt ans, parce que, parce que… enfin parce que Charles Trenet, c’est Charles Trenet !
Et parce qu’elle est fière qu’il ait choisi l’Alhambra – Maurice Chevalier pour célébrer ses vingt ans de music-hall, Jane Breteau a réuni autour de lui un programme vraiment exceptionnel, avec le nouveau tour de l’imitateur Claude Vega, un jeune harpiste de sept ans, Nicolas Sito, l’illusionniste néerlandais Fred Kaps…





Chose nouvelle et inattendue: son accompagnateur Freddy Lienhart, au lieu de se trouver à sa place habituelle côté jardin sur la scène, était dissimulé derrière un rideau rouge pour ne paraître que vers la fin, au moment de La mer, avec l’orchestre de Pierre Spiers et ses vingt-huit musiciens.



Au programme, une quinzaine de chansons, parmi lesquelles A ciel ouvert, sa chanson d’entrée, Les coupeurs de bois, A la porte du garage, Mamzelle Clio, Gangsters et documentaires, Revoir Paris, Je chante, Coin de rue, La maison du poète, Boum, Le jardin extraordinaire, et une nouveauté: Tu n’as plus de cœur, certes pas une des meilleures de la cuvée Trenet, et qui d’ailleurs ne resterait pas bien longtemps à son répertoire de scène.

CHARLES TRENET : Bombe au music-hall : main dans la main, le Poète et ma Pomme.
Extrait de « Paris Match »
 
Charles Trenet avait achevé de chanter « Boum ». Il s’approcha du micro.
« Et maintenant, »  dit-il, voici « Y a d’la joie » qui a été créé par le plus grand de la chanson, qui est parmi nous ce soir. »
Maurice Chevalier se leva de son fauteuil. Il y eut un moment d’émotion ; le Tout Paris sentait qu’il assistait à un coup de théâtre au music-hall. C’était enfin la réconciliation des deux enfants chéris de la chanson : ils étaient brouillés depuis vingt ans.

Tout avait pourtant bien commencé. En 1938, à l’A.B.C., Trenet, modeste débutant s’était déjà adressé au public :
« Si je suis là ce soir, c’est grâce à Maurice Chevalier qui est dans la salle. »
De la même façon Chevalier s’était levé de son fauteuil. C’était le début d’une amitié placée sous le signe du parrainage : Chevalier avait cinquante ans, Trenet vingt-cinq. L’ancien offrait sa poigne solide au nouveau venu. Une génération donnait la main à l’autre.
La première fois qu’ils furent mis en présence, Maurice fut stupéfait, Trenet paralysé par l’admiration.
C’est en 1937, au Casino de Paris, que Chevalier crée « Y a d’la joie » . C’est un triomphe. Six mois plus tard, Trenet débute à l’A.B.C.

Le drame éclate sur une petite plage du Nord, le casino de Middelkerke, sur la côte belge.
Maurice apprend avec stupéfaction que c’est Trenet, son poulain, qui doit chanter quinze jours plus tard dans le même casino, avec un cachet supérieur au sien.
« Comment un débutant qui a six semaines de métier peut-il gagner plus que moi ? »
Et c’est ainsi que le jeune Charles chantera lui-même la chanson qu’il avait composée sur l’enfance de Maurice : « Ménilmontant ».
Ils ne se verront plus pendant vingt ans.

Dans ses Mémoires Maurice Chevalier écrit :
« Un journaliste assura que la naissance de Charles Trenet assurait mon enterrement. »
Charles attend le septième volume des souvenirs de Maurice, « Artisan de France », pour répondre. C’est une lettre de félicitation. Le silence est rompu. Les choses s’accélèrent.
Chevalier, le soir de la première de l’Alhambra riposte par télégramme :
« Espère cet anniversaire sera début nouvelle et triomphale carrière. »
Anniversaire à vingt bougies : vingt ans de music-hall.




CHAPEAU BAS, MONSIEUR TRENET !

En 1953, à Santiago, le président de la République Chili lui a rappelé que la France pouvait être fière de ses 3 chapeaux : le bicorne de Napoléon, le canotier de Chevalier et le sien!
C’est aussi à l’Alhambra qu’il abandonna ce feutre gris qui avait fait jusqu’à là partie de sa silhouette et qu’il pétrissait en scène quand il ne le posait pas en auréole.
A force de voir son chapeau, on a crû qu’il n’avait pas de tête… Bien des gens en arrivaient à croire qu’il sortait pêle-mêle Mamzelle Clio, La mer, le bon roi Dagobert, le Cœur de Palmier comme un illusionniste les lapins : de son chapeau. – (J.C. dans « Music-Hall » - 1956)

Octobre 1955, « Surboum » chez Jack Diéval  (Jazz aux Champs-Elysées) au Palais de Chaillot à Paris :
Dans l’immense vaisseau de Chaillot, chacun était à son poste. Charles Aznavour acheva de mettre les balcons en transe. Une clameur : « Chapeau ! Chapeau ! » Charles Trenet, angelot sans façons, avait oublié son auréole au vestiaire. Les jazzmen n’aiment pas qu’on néglige les symboles. Mais notre Fou-Chantant connaît la musique mieux que quiconque. En trente-cinq secondes il mit la salle dans sa poche. On ne voulait plus le laisser partir. Jack Diéval, le premier, en redemandait. (J.M. dans « Radio 55 »).

Londres, 4 décembre 1957 :
Charles Trenet sans son chapeau qui depuis vingt ans fait partie de son personnage, a conquis la nuit dernière les téléspectateurs anglais. « Mon chapeau fait démodé », a-t-il dit, « à partir de cette nuit, je l’abandonne définitivement. » (France Soir ).

Bruxelles, 19 décembre 1957, au cinéma Métropole, au gala pour l’œuvre des petits déshérités, patronné par le plus grand quotidien belge « LE SOIR » :
Il y a 18 ans, Charles Trenet chantait déjà au Métropole. Il le rappela sur scène, en ajoutant que cette longue carrière avait définitivement fatigué son célèbre chapeau mou et qu’il avait décidé de l’abandonner dans les coulisses. C’est donc sans chapeau, mais toujours l’œillet écarlate à la boutonnière, le costume bleu roi et le regard étincelant de ses jeunes années que Charles Trenet commence son tour de chant. (Y.T. dans « Le Soir »).

Et voici ce que Charles Trenet lui-même déclare dans sa préface du livre « Charles Trenet par Marc Andry (Calmann-Lévy 1953) :
Ce fut une aide bien précieuse à un débutant haut de six pieds qui se sentait petit et perdu seul sur la scène, et ne savait que faire de ses bras et de ses mains. Le chapeau lui sauva la mise. Il le portait négligemment en entrant en scène, derrière la tête (car il voulait montrer ses cheveux). Il l’ôtait, le remettait, lui donnait toutes les formes. Cela l’aidait à souligner un geste, une attitude, et lui faisait oublier la gaucherie de ses dix doigts.
Peu à peu cet auxiliaire des premiers jours devint un accessoire, à présent c’est un fétiche.




L’Alhambra, de 1904 à 1967, situé 50, rue de Malte à Paris dans le 11ème, fut l’un des plus importants music-halls français.

En 1956, Roland Petit y présenta des ballets. C’est là aussi qu’en 1961 débuterait Jean Ferrat dans le programme de Zizi Jeanmaire.

En février 1967, les dernières représentations de « Blanche Neige » terminées, l’Alhambra ferma ses portes.

Les difficultés financières allant en s’aggravant, Mme Breteau, la directrice, décida de vendre.
Malgré les efforts de Jean Fontaine († 2001), qui avait animé sur cette scène de nombreuses
émissions radiophoniques, comme Discoparade, et celui-ci n’étant pas parvenu à réunir les fonds nécessaires pour sauvegarder le site, l’Alhambra serait détruit pour faire place à un parking et un ensemble d’immeubles....






CHARLES TRENET -300 CHANSONS EN VINGT ANS par Jean Portelle

Ce soir le poète n’est pas dans son assiette. Il n’a pas de fleur bleue entre les dents, comme on l’imagine. Il ne marche pas les pieds en l’air, comme on le raconte. La fleur est à sa boutonnière, un gros œillet rouge plus bourgeois que poétique, qu’il ajuste d’un air ennuyé. Il a envie d’être seul. Mais son travail l’en empêche : le rideau de l’Alhambra qui va s’ouvrir.

Derrière le rideau, ce sont 2.800 Parisiens qui ont rendez-vous avec lui.
D’une voix douce, il prie deux vieilles dames de ne pas assaillir sa loge :
- S’il vous plaît, pas ce soir…, demain !
Elles partent. Demain, elles viendront lui dire qu’elles ont des malheurs et que lui a des sous ; alors il sera bien gentil s’il arrange les malheurs avec les sous…
Les musiciens s’installent devant leurs cuivres. L’entracte s’achève.
Dans la salle, j’assiste, stupéfait, à la métamorphose du poète. Lorsqu’il entre en scène, il est tout sourire. Il nous parle avec gentillesse, comme à de bons copains. Il nous rappelle qu’il est né à Narbonne. Et, comme il devine ce que nous pensons, il nous dit en riant que c’est en 1913. Nos applaudissements le félicitent d’avoir quarante-cinq ans avec tant de fraîcheur.
D’ailleurs, il nous rassure vite :
- L’un de mes premiers succès, « Boum », a vingt ans cette année. Moi aussi ! Et puis, au vrai, est-ce l’âge ou les chansons des poètes qui nous importent ?
Il nous dit encore : Regardez-moi, il y a du nouveau… À présent, je chante sans chapeau !

À l’Alhambra, pour ses vingt ans de succès, Trenet nous a offert une quinzaine de chansons. Le public ne voulait plus le laisser partir. Tous les spectateurs, debout, l’ovationnèrent pendant dix minutes. Derrière moi, une dame s’est levée en pleurant. Elle criait : - Merci Trenet !

C’était ce que nous avions tous à lui dire…

Chansons inconnues.

Un peu plus tard, j’ai demandé à Trenet combien il avait composé de chansons « en tout ». Il m’a répondu, sans réfléchir :
- Trois cents.
J’ai compris que c’était un chiffre rond, choisi une fois pour toutes, parce que plus pratique que 293 ou 317. Il a d’ailleurs ajouté :
- Il y a des chansons que je n’ai jamais chantées en public…
- Lesquelles chantez-vous ?
- Celles qui plaisent.
Je ne sais pas comment il fait, Trenet, pour choisir sans les essayer les chansons « qui plaisent » !
Alors, j’ai voulu savoir si celles qui plaisaient trop n’arrivaient pas à lui chauffer les oreilles :
- Par exemple, vous avez interprété ou entendu « La mer » des milliers de fois. Vous commencez à bien la connaître… Aujourd’hui, c’est une corvée de la chanter ?
Il paraît que non :
- Je ne suis pas plus fatigué de la chanter qu’elle n’est fatiguée de faire son travail sur les plages…
D’ailleurs, il se défend d’être routinier :
- Je n’interprète jamais une chanson deux fois de la même manière, m’assure-t-il. D’un soir à l’autre, je change un détail, une nuance… Ceux qui reviennent me voir s’en aperçoivent.

- Vos refrains ont fait le tour du monde. Croyez-vous que vous composerez encore d’autres grands succès ?
Il m’a répondu avec humour :
- Je connais un puits à Aix. Souvent, le fermier croit qu’il est à sec. On a beau descendre le seau jusqu’au fond, il remonte à vide. Et brusquement, le puits déborde. Il y a de l’eau à gogo. On ne sait pas pourquoi. On ne sait jamais quand il sera à sec et quand il débordera…
- Alors, j’espère que vous déborderez encore beaucoup !


« Je préfère Brassens ».

Trenet a énormément de « petits ». Il domine sa génération. Mais il n’est quand même pas seul. Il y a, notamment, un certain Brassens :
- Que pensez-vous des chansons de Brassens ?
- Je les préfère à toutes les autres.
- S’il fallait les comparer avec les vôtres ?
- Je donnerais une réponse qui n’est pas de moi : « Dans les chansons de Trenet, les amoureux s’en vont au soleil. Dans celles de Brassens, ils vont à l’enterrement ».
- Dans la façon de chanter, de qui vous sentez-vous le plus proche ?
- Gilbert Bécaud.
- À votre avis, le meilleur interprète ?
- Yves Montand.
Trenet est un homme lucide et intelligent. Comme nous bavardions depuis de longues minutes sur la chanson, il eut soudain une réaction brutale :
- Il ne faut quand même pas discuter des chansons trop sérieusement. Certes, il y a de grands artistes de la chanson. Mais la chanson n’est pas un grand art ! C’est un art mineur…
- Que qualifiez-vous de « grand art » ?
- Eh bien, la peinture et la musique, par exemple. Surtout la musique !
- N’avez-vous pas essayé un autre moyen que la chanson pour vous exprimer ?
- J’ai écrit deux romans. L’un, « Dodo Manières », a été publié en 1939. Et il y a « La bonne planète ». Et il y en aura un troisième. Ça s’appellera « Les aventures hallucinées » (N.D.L.A. : « Un noir éblouissant » paru en 1964 chez Grasset). C’est l’histoire d’un Noir qui arrive sur une plage dont tous les estivants sont brûlés, cuits par le soleil. Le Noir est moins noir que les Blancs et réussit à passer pour un Européen…
Au moins, cela ne manque-t-il pas d’originalité.
Je demande à l’écrivain Trenet s’il désavoue ses deux premières œuvres.
- Non ! Mais ce n’est pas ce que j’ai fait de mieux dans ma vie !
- Que se passe-t-il quand vous recevez l’un de vos nouveaux disques ?
- Je l’écoute une fois et j’ai aussitôt l’envie de le recommencer. Je n’ai jamais enregistré un seul disque dont j’ai pu dire : « C’est parfait ! » Alors, parce qu’ils m’agacent, je range mes disques dans un tiroir et je ne les écoute plus…
Les amis de Trenet croient lui être agréables en disant que ses chansons sont « charmantes ».
- Ce n’est pas un compliment, objecte-t-il. Par exemple, rien de plus charmant que le folklore. Rien de plus bête non plus ! « La Mère Michel » ou « À la claire fontaine » sont deux chansons « charmantes ». Elles ont une bien maigre valeur artistique ! Mais « c’est du folklore » ; on les aime sans réfléchir.
Depuis vingt ans, Charles Trenet est le chanteur français No. 1. Et son succès ne se dément pas.
- Comment l’expliquez-vous ?
- Je « dure » parce que je suis sincère. Il y a des chanteurs qui démoralisent le public. Moi, au contraire, je le rassure. Je n’ai cherché qu’à distraire. Je me suis gardé de pleurer en public ou de me vautrer dans le macabre, sous prétexte d’avoir l’air profond…



Sa légende.

Trenet a sa légende. On raconte que, dans un asile d’aliénés, vingt et un fous prétendaient être Charles Trenet. Amusé, le chanteur demanda à visiter l’asile. Le directeur le reçut et lui présenta les vingt et un bonshommes qui lui ressemblaient effectivement d’une étonnante façon : mêmes boucles dorées, des yeux qui roulaient, un chapeau rond sur la tête ! Brusquement, le directeur dut s’absenter. Quand il revint, il ne sut lequel était le « vrai » Trenet. Il en libéra un. Mais, dit-on, il n’est pas tout à fait sûr que ce soit celui qui naquit à Narbonne en 1913…
Je n’ai pas osé en demander la confirmation au Trenet actuel…

Avril 1958.


*** LIRE PROCHAINEMENT : LE SECRET DE TRENET - IL EST FOU SANS ÊTRE DÉMENT
1961 - RÉCITAL À L’ÉTOILE***
 
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