Thread: Cartes postales

Jeannette - 2/5/2013 à 13:27

Je vous écris de loin, d’un pays merveilleux
Où les choses vous parlent quand on ferme les yeux.



Image : lever du soleil à Port-la-Nouvelle
Texte : Jardin du mois de mai


Jeannette - 3/5/2013 à 07:16

Ma belle, ma douce patrie…



Image : la plage entre Port-la-Nouvelle et la Franqui

Texte : Mes jeunes années

quote:
Ma belle, ma douce patrie, elle commence après Salses (la frontière !) pays des étangs, des oiseaux libres et des vacances. Ce soir, près de Sainte-Lucie, où le train s’arrête sans qu’on n’ait jamais vu personne y monter ou en descendre, un essaim de petites lumières clignote dans les vapeurs du crépuscule, nimbées, elles aussi, par celles de la machine.


Les trains ne s’arrêtent plus à Sainte-Lucie, mais les ils passent toujours entre étang et canal.


Jeannette - 4/5/2013 à 14:25

L’odeur de ces vacances,
Lilas de mer, sardines, Dodo Manières,
Je ne les ai retrouvés nulle autre part
Qu’à La Nouvelle.



Image : Le phare de Port-la-Nouvelle
Texte : http://www.charles-trenet.org/lanouvelle.html


Dominic - 4/5/2013 à 14:56

Merci, chère Janet, pour vos cartes postales poétiques qui nous ramènent dans les pas de Charles.

Dominic


Jeannette - 5/5/2013 à 06:13

Nous irons voir si les vagues
Sous le ciel clair roulent toujours.



Image : La mer à Port-la-Nouvelle
Texte : Devant la mer


Jeannette - 6/5/2013 à 09:38

Et le sable que je serrais très fort dans mes deux mains
Glissait à lents intervalles,
Comme le Temps, comme les jours, comme demain...



Image : la plage entre Port-la-Nouvelle et la Fanqui
Texte : Jeunesse (CT dit le poème)


Jeannette - 8/5/2013 à 08:20

Et sous la lune pâle,
Je marche allègrement



Image : le Canal de la la Robine à Narbonne
Texte : Narbonne mon amie


Jeannette - 10/5/2013 à 08:47

Tant que le destin voudra m’accabler de ses épreuves, tant que le hasard fera si mal les choses, je relèverai le front et marcherai sans peur, illuminé d’un sourire de vierge.



Image : l’affiche de l’exposition TRENET : le Fou chantant / de Narbonne à Paris

Texte : extrait du roman Un noir éblouissant.

Je pensais aussi à :

quote:
Je leur oppose déjà mon sourire. Je m’occuperai bien tout seul de mon âme aventureuse. Je saurai la fatiguer tellement qu’elle sera obligée de dormir beaucoup, non sur des lauriers distingués, mais sur du foin.

Dodo Manières


Jeannette - 12/5/2013 à 10:57

Elle est si jolie avec ses volets verts…



Image : la maison natale à Narbonne
Texte : Maman, ne vends pas la maison


Jeannette - 13/5/2013 à 08:12

Je ferai comme lui sur une plage
Disparaissant dans l’eau sauvage



Image : la mer à Port-la-Nouvelle
Texte : Quand les cigales seront parties


Jeannette - 17/5/2013 à 08:40

On y voyait l’azur superbe
Derrière l’usine à souffre.



Image : une usine à Port-la-Nouvelle où l’on mélange toujours la nature, l’industrie et la tourisme.
Texte : C’était… C’était… C’était…

Vincent Lisita raconte une histoire de la genèse de cette chanson dans son livre, Trenet méconnu, qui vient de sortir. Pendant la guerre, il y avait une exposition de ses toiles : Paysages de mémoire. Mais au dernier moment son secrétaire s’est aperçu que l’artiste avait oublié de signer ses tableaux. Charles a demandé au secrétaire de signer "C.T." sur chacun, et en parlant, it écrivait “C.T C.T. c’était c’était” sur la nappe en papier du restaurant…


Jeannette - 28/5/2013 à 11:44

Mais tu n’es pas là…



Image : Esplanade des Invalides, Paris
Texte : Quand descend le soir.

quote:
Quand descend le soir,
Je vais seul m’asseoir
Sur le banc de bois
Mais tu n’es pas là...


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